The offices of Digital Extremes development studios in London, Ontario

Grâce à son bassin de talents hautement qualifiés et à d’excellents programmes d’encouragement, la province offre un climat idéal pour les entreprises de médias numériques de calibre mondial.

Les innovateurs du jeu vidéo de Digital Extremes, installée à London, en Ontario, sont fiers de faire partie de l’un des meilleurs studios de développement du secteur du divertissement interactif d’aujourd’hui.

Chef de file du domaine depuis plus de trois décennies, l’entreprise a commencé au début des années 1990 avec le partagiciel Epic Pinball, qui a connu un grand succès. Elle a ensuite cocréé la série Unreal d’Epic Games, ainsi que le très populaire Warframe. La suite à venir, Soulframe, vient d’être annoncée par l’entreprise en juillet lors de la 7e édition annuelle de la TennoCon.

Digital Extremes fait partie du secteur florissant des médias numériques en Ontario, au Canada, qui rapporte 1,65 milliard de dollars par an.

L’entreprise a connu un grand succès avec son modèle « jeux-services » (Games-as-a-Service, ou GaaS), qui offre un accès de base gratuit aux jeux et de nouvelles expériences sous forme d’achats en jeu ou d’abonnements.

Une photo du jeu Warframe de l’entreprise ontarienne Digital Extremes
Les talentueux développeurs de jeux ontariens de Digital Extremes sont responsables de la création des images riches, de l’innovation constante et de la mobilisation des joueurs qui ont valu à Warframe d’être suivi par plus de 50 millions de joueurs inscrits dans le monde entier.

Digital Extremes se distingue comme chef de file dans l’univers des médias numériques, recevant de nombreux prix pour ses jeux innovants et sa culture de studio progressiste.

Mais quel est le secret du succès de Digital Extremes?

Un bassin incroyable de talents en Ontario

En tête de liste, sans surprise, vient le talent. « Nous avons la chance d’être ici, à London en [Ontario], où, grâce aux universités et aux collèges de premier ordre de la province, nous avons accès à un bassin exceptionnel d’artistes, de concepteurs, d’animateurs-graphistes et de programmeurs de jeux vidéo », explique le président de Digital Extremes, Mike Schmalz.

Faisant partie d’un écosystème technologique robuste dans la province, Digital Extremes profite du réservoir de talents du secteur des technologies de l’Ontario, alimenté par ses 44 collèges et universités produisant 63 500 nouveaux diplômés en STIM chaque année.

Fait intéressant : lorsque la COVID-19 a frappé l’Ontario en mars 2020 et que le personnel de Digital Extremes a dû travailler à domicile, le studio a maintenu sa productivité. « Je ne dirai pas que ce n’a pas été un défi, ajoute M. Schmalz. La création de jeux est une tâche hautement collaborative. Mais nous responsabilisons les membres de notre équipe et leur fournissons de bons outils de collaboration, un bon soutien et de bons services. »

Au cours des deux dernières années, l’équipe de Digital Extremes s’est enrichie de plus de 100 nouveaux membres, qui ont été intégrés sans heurts.

Une photo du jeu vidéo Warframe du studio ontarien Digital Extremes
Digital Extremes est reconnue non seulement pour la qualité de ses jeux, mais aussi pour l’excellence de son milieu de travail. Pour une douzième année consécutive, l’entreprise figure au palmarès des 100 meilleures entreprises où il fait bon travailler au Canada.

Le gouvernement met l’accent sur la croissance du secteur des médias numériques interactifs de l’Ontario

Le succès de l’entreprise repose également sur un soutien solide de la part du gouvernement, et M. Schmalz ne s’en cache pas. « Comme tous les développeurs de jeux, nous avons connu des hauts et des bas au cours de nos 29 années d’existence, et nous ne serions pas là aujourd’hui sans le crédit d’impôt de l’Ontario pour les produits multimédias interactifs numériques. »

Le crédit d’impôt pour les produits multimédias interactifs numériques a été créé en 1998 pour soutenir le développement du secteur naissant des médias interactifs dans la province. Il est considéré comme l’un des plus généreux dans le monde, offrant un remboursement d’impôt allant jusqu’à 40 % des dépenses de main-d’œuvre et d’une partie des dépenses de commercialisation et de distribution des jeux créés en Ontario.

« La décision d’établir ce programme de crédit d’impôt a joué un rôle déterminant dans la croissance du secteur en Ontario, dit M. Schmalz. Vous pouvez en voir les résultats dans notre écosystème croissant et de plus en plus diversifié. »

La province offre également des encouragements à la recherche et au développement exceptionnels, qui permettent de réduire le coût d’un investissement de 100 dollars dans la R-D à entre 64 et 32 dollars.

Vers quoi Digital Extremes se dirige-t-elle à partir de maintenant?

« Nous sommes très enthousiastes face à l’avenir, déclare M. Schmalz. Warframe continue sur sa lancée, et nous avons récemment annoncé Soulframe, notre première nouvelle propriété intellectuelle développée en interne depuis près de dix ans, qui s’inscrit dans un cycle pluriannuel de développement de la technologie et de la communauté. »

Et puis, il y a la collaboration de l’entreprise avec Airship, qui la propulse dans le secteur de l’édition et du codéveloppement.

Capture d’écran d’un jeu encore sans titre, développé conjointement par Digital Extremes et la société américaine Airship Syndicate
Les joueurs du monde entier attendent avec impatience la sortie, en décembre 2022, d’un nouveau jeu d’action fantastique, fruit d’une collaboration entre Digital Extremes et Airship Syndicate.

« Il nous a semblé logique d’investir une partie de l’argent que nous avions gagné dans d’autres entreprises. Nous avons opté pour un modèle d’édition non traditionnel dans lequel une société comme Airship, qui produit d’excellents jeux, aura la liberté de faire ce qu’elle fait bien sans que nous intervenions. Nous ajoutons de la valeur là où nous le pouvons – dans ce cas, avec un soutien en matière de fabrication finale et de marketing – et nous les laissons se débrouiller. »

Une formule qui semble réussir à une entreprise à un tournant de son développement.

En savoir plus sur le secteur florissant des médias numériques interactifs (MNI) en Ontario.

Pour en savoir plus sur les jeux vidéo créés en Ontario, visitez The Lodgge (en anglais seulement), un site Web tiers qui présente le secteur du développement du divertissement interactif en Ontario.

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